Jonathan Ive partant pour rester chez Apple
Le Mail Online un consacre long article à Jonathan Ive. De ce portrait dont il ressort pas mal d'éléments déjà bien connus à propos du patron du design d'Apple, on retiendra principalement qu'il paraît décidé à rester à son poste.
Un autre titre anglais, le Sunday Times, avait écrit à la fin février que la famille Ive songeait à quitter la Californie pour revenir en Angleterre, laissant planer le risque d'une fin de collaboration avec Apple (lire Jonathan Ive aurait le mal du pays). Rien de tel affirme le Mail Online, non seulement c'est inexact, mais sa maison anglaise est toujours bel et bien vide et, ajoute un ancien collègue “la dernière fois que je lui ai parlé il parlait de vendre sa maison en Angleterre”.
L'article s'attarde ensuite sur la personnalité de Jonathan Ive (on apprend et voit qu'il conduit une Bentley) avec des traits que l'on connaît déjà : humilité, curiosité, esprit d'équipe. Sur sa manière de travailler aussi : chef d'une équipe d'une dizaine de personnes seulement, une obsession du détail, de mener des recherches poussées sur de nouveaux matériaux, sur la manière de les travailler et les pousser jusque dans leurs retranchements (lire Jonathan Ive sur l'iPhone 4 et la science des matériaux). Une attention qui va du design jusqu'à la la fabrication finale.
Des anecdotes comme le fait que Jobs fit installer une cuisine dans le labo design pour que son équipe n'aille pas trop parler travail à l'extérieur, ou que ce même Jobs n'était pas super emballé au départ par le premier iMac et sa souris ronde.
Et toujours chez Ive cette volonté de tester de nouvelles pistes “L'une des caractéristiques de [notre] équipe c'est d'être prête à se tromper. C'est la curiosité, le sens de l'exploration. C'est d'être heureux d'avoir tort parce qu'à ce moment vous avez trouvé quelque chose de nouveau”.
On retiendra aussi ce mot d'humour de Robert Brunner, ancien patron de l'anglais chez Apple “Je plaisante souvent sur le fait que l'on inscrira sur ma pierre tombale : L'homme qui a embauché Jonathan Ive”.
Un autre titre anglais, le Sunday Times, avait écrit à la fin février que la famille Ive songeait à quitter la Californie pour revenir en Angleterre, laissant planer le risque d'une fin de collaboration avec Apple (lire Jonathan Ive aurait le mal du pays). Rien de tel affirme le Mail Online, non seulement c'est inexact, mais sa maison anglaise est toujours bel et bien vide et, ajoute un ancien collègue “la dernière fois que je lui ai parlé il parlait de vendre sa maison en Angleterre”.
L'article s'attarde ensuite sur la personnalité de Jonathan Ive (on apprend et voit qu'il conduit une Bentley) avec des traits que l'on connaît déjà : humilité, curiosité, esprit d'équipe. Sur sa manière de travailler aussi : chef d'une équipe d'une dizaine de personnes seulement, une obsession du détail, de mener des recherches poussées sur de nouveaux matériaux, sur la manière de les travailler et les pousser jusque dans leurs retranchements (lire Jonathan Ive sur l'iPhone 4 et la science des matériaux). Une attention qui va du design jusqu'à la la fabrication finale.
Des anecdotes comme le fait que Jobs fit installer une cuisine dans le labo design pour que son équipe n'aille pas trop parler travail à l'extérieur, ou que ce même Jobs n'était pas super emballé au départ par le premier iMac et sa souris ronde.
Et toujours chez Ive cette volonté de tester de nouvelles pistes “L'une des caractéristiques de [notre] équipe c'est d'être prête à se tromper. C'est la curiosité, le sens de l'exploration. C'est d'être heureux d'avoir tort parce qu'à ce moment vous avez trouvé quelque chose de nouveau”.
On retiendra aussi ce mot d'humour de Robert Brunner, ancien patron de l'anglais chez Apple “Je plaisante souvent sur le fait que l'on inscrira sur ma pierre tombale : L'homme qui a embauché Jonathan Ive”.