LibreOffice débute sa nouvelle numérotation calendaire avec sa version 24.2

Stéphane Moussie |

Après la version 7.6 de LibreOffice, voici la version… 24.2 ! The Document Foundation a en effet décidé de changer le système de numérotation de la suite bureautique libre. « Après douze ans et cinq cycles de publication, il est de plus en plus difficile de développer des fonctionnalités entièrement nouvelles, de telle sorte que la plupart d'entre elles sont des améliorations ou des perfectionnements de celles existantes », justifiait l’organisation dans un communiqué l’été dernier.

Les numéros des nouvelles versions majeures sont calés à partir de maintenant sur la date de publication. C’est ainsi que LibreOffice 24.2 apparait en ce mois de février 2024. The Document Foundation estime que cette nouvelle numérotation aidera les utilisateurs à maintenir leur suite à jour plus facilement.

Cette mise à jour majeure apporte comme souvent une myriade de petites améliorations à travers toutes les applications. Parmi celles qui sont communes à tous les logiciels, on peut citer l’enregistrement des informations de récupération automatique qui est maintenant activé par défaut ainsi que le menu déroulant « Insérer des caractères spéciaux » qui affiche une description du caractère sélectionné.

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avatar heliopolis | 

Vous utilisez encore libre office?
Cela fait des années que je ne l'ai plus installé.

avatar radeon | 

@heliopolis

Oui essentiellement pour éditer des pdfs. Ce qui manque cruellement à cette suite c’est un relooking, sinon c’est un très bon outil.

avatar DahuLArthropode | 

@radeon

Euh… le traitement de texte ou le dessin vectoriel, ok. Mais le tableur est épouvantable.

avatar occam | 

@DahuLArthropode

> "Mais le tableur est épouvantable."

Tous les tableurs sont structurellement horribles.
Horribles dans leur modèle de fonctionnement.
Horribles dans le mode de pensée qu’ils cimentent chez leurs utilisateurs.
Il en existe dont la façade est plus agréable, plus amène.
Mais derrière la façade, le même bordel.
https://arstechnica.com/science/2024/01/we-keep-making-the-same-mistakes-with-spreadsheets-despite-bad-consequences/

avatar DahuLArthropode | 

@occam

Quoique n’ayant pas encore lu l’article (que je lirai), je suis profondément en désaccord avec l’affirmation. Je suis un amoureux des tableurs, je déteste seulement la société des tableurs (comme j’aime les couteaux mais je déteste les assassins).
Cet amour remonte à Visicalc et à Multiplan. Cette idée d’avoir un outil générique qui permet de saisir une formule quelconque qui fait référence à des cellules quelconques, c’est du génie. C’est ce qui avait amené Jean-Luois Gassée chez Apple, après avoir vu VisiCalc, alors qu’il travaillait à des logiciels comptables rigides auxquels ont tentait d’apporter un peu de flexibilité pas des paramétrages compliqués. Et la révélation sur Apple ][: une grille, des formules.

avatar occam | 

@DahuLArthropode

J’espérais provoquer une réaction constructive, vous m’avez comblé, merci !

Historiquement, mon premier contact avec les tableurs remonte également à VisiCalc, également sur Apple ][. Le diagnostic : killer app était évident. J’ai assisté au lancement d’Excel, sur Mac, en 1985. Même plus que PostScript, il m’a conforté dans l’appréciation du potentiel de la plateforme. (Bill Gates aussi, qui s’y était beaucoup impliqué, j’en suis convaincu. S’il avait réussi à obtenir sa licence pour un portage du Mac, les affres des premiers Windows nous auraient peut-être été épargnés…)

Donc, j’ai été un adepte de la première minute. J’ai initié, proposé, soutenu, enseigné l’usage des tableurs. Mais, au fur et à mesure, j’ai dû reconnaître que les dégâts cognitifs qu’ils causaient outrepassaient leurs avantages pratiques.

Je dois préciser que je suis accro à tout ce qui facilite le calcul matriciel. Inévitablement, cela m’a amené à APL. J’ai donné ds pieds et mains pour que mon uni soit l’une des premières à se doter d’APL2, dès son lancement en 1984. APL2 avait la particularité de pouvoir traiter une matrice directement comme élément d’une autre matrice ; l’élégance absolue.
Quand on compare l’élégance conceptuelle et la précision de la notation d’un outil comme APL avec ce qu’un tableur comme Excel ou Numbers permet, ou impose, on se rend compte que la plupart des tableurs ont été menés à évoluer dans le sens de la complication au détriment de la complexité. Or, complexité et complication sont antonymes, et ennemies.

Je préconise des logiciels qui différentient clairement, et visuellement, entre variables déclarées, valeurs assignées, constantes globales et locales, formules dynamiques, formules statiques, hiérarchies de données, tables et relations. Malheureusement, les langages ou frameworks qui répondent au moins partiellement à ces critères, comme Mathematica, R, ou J (le successeur spirituel d’APL), passent par une courbe d’apprentissage assez raide et n’offrent pas la maniabilité interactive d’Excel. Mais il existe des logiciels de calcul comme Soulver ou Calca qui sont l’ébauche, pâle et squelettique, de ce que devrait être le successeur des tableurs actuels, ou du moins leur alternative. Il leur manque notamment l’épaisseur et la dimensionalité.

Dernière note, à propos de la dimensionalité : j’espérais que le lancement d’APV (vulgo Vision Pro) fournirait l’occasion d’une refonte en profondeur d’Excel comme de Numbers, justement pour en exploiter la multidimensionalité. Au lieu de quoi, pour l’instant, same-o same-o.

avatar DahuLArthropode | 

@occam

Ayant parcouru l’article, je maintiens mon apologie du tableur. En revanche, je crois qu’il faut en interdire l’utilisation.

avatar marc_os | 

@ occam

> Tous les tableurs sont structurellement horribles

Une clé à molette est structurellement horrible si on l'utilise comme marteau. Elle va finir par s'abimer et se disloquer pour finir par n'être plus utilisable comme clé à molette.

De même pour les tableurs¹.
Si des personnes incompétentes les utilisent "parce que c'est facile de remplir les cases" comme formulaire ou comme base de données par exemple, c'est sûr qu'elles vont droit au mur. Et les exemples dans l'article d'Ars Technica sont tous de ce type.
Jamais un tableur ne devrait être utilisé pour les tâches décrites.

Ce n'est pas une raison pour jeter la clef à molettes à la poubelle, ni le tableur — si on les utilise pour ce quoi c'est fait, visser ou dévisser des boulons, faire des calculs, des statistiques, etc..

Et ce n'est pas parce que monsieur Quidam mis au volant d'une F1 va la mettre directement hors piste que les F1 sont des voitures « structurellement horribles ».

(¹) Un tableur ne risque pas de se dégrader s'il est mal utilisé, par contre, sa réputation oui.

avatar occam | 

@marc_os

Je vous étonnerai peut-être en me déclarant bien d’accord avec vous au sujet du mauvais usage des tableurs.

Mais l’utilisation à contre-sens et à contre-emploi des tableurs est inscrite dans leurs gènes : il n’y a rien qui en empêche un mauvais usage, et tout pour l’encourager.
C’est ce que j’entends par « dégradation cognitive » (cf. plus haut en réponse à @DahuLArthropode).

Mon objection fondamentale au fonctionnement et à la conception des tableurs, tels qu’il se présentent aujourd’hii, et depuis plus de 40 ans, va plus loin, elle se réfère précisément au domaine qui devrait être le leur : calculs, statistiques et similaires.
(Je vous renvoie à ma réponse plus haut.)

Après une trop longue expérience, je considère le paradigme de la feuille de calcul comme le skeuomorphisme intellectuel le plus lourdingue qui soit, parmi les logiciels à usage commun.

avatar marc_os | 

@ occam

> l’utilisation à contre-sens et à contre-emploi des tableurs est inscrite dans leurs gènes : il n’y a rien qui en empêche un mauvais usage

Peut-être, mais utiliser un tableur à contre emploi comme le propos(ai)ent nombre de SSII à leurs clients, c'est de la part de leurs ingénieurs de l'ordre de la faute professionnelle, et de la part des SSII qui soutiennent cette pratique sciemment une arnaque vis à vis de leurs clients.

On avait aussi d'autres cas de figure.
Par exemple le chef de service "geek" qui va informatiser son service en utilisant des outils comme Excel ou MS-Access. Le résultat était souvent peu ragoutant. Mais souvent également ils en avaient conscience et faisaient appel à des spécialistes (en SSII en l'occurence) afin d'industrialiser leurs outils maison.
On a aussi une démarche similaire dans les salles de marché : Les traders développent des prototypes pour leurs calculs, puis une fois le prototype validé, ils le font refaire par des pros du code pour l'intégrer proprement dans les process et l'ensemble informatique de leur banque. Au passage souvent on change d'outil (comme abandonner Excel), les objectifs étant différents. Durant le prototypage il faut développer vite et assurer des calculs justes. Puis les objectifs changent. Fiabilité et performance ainsi qu'une intégration parfaite dans le système existant deviennent les priorités.

avatar occam | 

@marc_os

Encore une fois, je vais vous étonner peut-être, mais je suis d’accord avec vous sur les principes.

Bémol : dans l’expérience que j’ai, l’extension de l’abus d’Excel à l’échelle industrielle est tellement courante, et désormais avalisée par tant de services IT (que ce soit de guerre lasse ou par indolence) qu’il faudrait fermer toute la boîte si l’on voulait sanctionner la faute professionnelle.

Les rares quants que je connais — je ne fréquente pas de traders dans mon modeste entourage — ont pour la plupart renoué avec leurs bonnes habitudes acquises en classe phys/math, après des passages obligés souvent désastreux sur Excel : scripter leur calcul dans un langage algorithmique à la fois lisible et vérifiable. Que ce soit Python, Matlab, Mathematica, R, ou plus récemment Julia. Un autre avantage étant de réassigner rapidement des flots de données fraîches à leurs variables, au lieu d’avoir à peupler des tables Excel interminables.

avatar oomu | 

Il est temps de revenir à IMPROV ! :)

avatar occam | 

@oomu

😊
Ce serait un NeXT STEP dans la bonne direction, au moins !

avatar Scooby-Doo | 

@occam,

NeXTstep 👌

Pas de fautes d'orthographe sur ce forum de bonne tenue, siouplait !

😁

avatar occam | 

@Scooby-Doo

> « NeXTstep »

Ayant fait état de ma dyslexie, je n’aurais aucun mal à admettre un manquement à l’orthographe. Ou cent.

Mais avez-vous exploré la possibilité d’une intention sémantique bien définie dans le contexte de ma réponse ?
Que vous inspire l’expression « un NeXT STEP dans la bonne direction », si l’on traduit en français les termes anglais ?

Pour aboutir à ce double sens, je n’ai eu qu’à scinder en deux le nom de l’OS.
Nom qui, par ailleurs, s’écrit bien tout en majuscules, sauf le premier e : « NeXTSTEP ».
Je n’en ferais pas état si ce n’était pour sauvegarder la bonne tenue de ce forum qui vous tient à cœur. 🫣

avatar Scooby-Doo | 

@occam,

« Nom qui, par ailleurs, s’écrit bien tout en majuscules, sauf le premier e : « NeXTSTEP ». »

👍

Exactement !

J'ai placé une erreur exprès pour voir si on me lisait en diagonale ou de manière approfondie !

J'ai ma réponse…

😁

À trop utiliser Wikipédia, on finit pas ne plus rien vérifier !

https://archive.org/details/nextstep3-3dev

L'orthographe de NeXTstep est variée, y compris :

NEXTSTEP !

C'est écrit en gros sur l'écran d'accueil et en petit caractères en dessous !

Wikipédia = l'anti encyclopédie !

10 ans d'utilisation de NeXTstep / NeXTStep / NeXTSTEP voire NEXTSTEP laissent quelques traces !

😁

Vous êtes pardonné puisque vous avez été bercé, encore nourrisson, au doux bruit d'un IBM 3031* !

🥳

* : casque antibruit recommandé…

avatar Scooby-Doo | 

@oomu,

« Il est temps de revenir à IMPROV ! :) »

👍

Ah mais clairement !

Celui qui a utilisé Improv! au moins une semaine dans sa vie ne peut qu'être nostalgique…

👌

avatar banabap | 

@radeon

Ils devraient prendre inspiration de Musescore, logiciel open source de notation musicale qui a bénéficié d’un immense relooking et qui reçoit beaucoup d’éloges de la communauté musicale depuis

avatar Scooby-Doo | 

@radeon,

J'utilise ce type de suite libre depuis plus de dix ans maintenant et je trouve tous les jours que ce sont des outils très mal conçus à la base !

Gratuit : oui

Pratique : non

Et c'est bien pire qu'un problème d'esthétique !

Moins bien organisé que le nouveau panneau de configuration de macOS !

😁

avatar Artefact3000 | 

@radeon

Dommage que LibreOffice n’ait toujours pas adopté le mode plein écran propre à MacOS.

avatar Scooby-Doo | 

@Artefact3000,

« Dommage que LibreOffice n’ait toujours pas adopté le mode plein écran propre à MacOS. »

Avant que occam ne vous saute dessus et vous fasse un placage de rugby, on écrit pas MacOS !

Mais macOS !

😎

Cherchez pas, c'est Apple qui décide comment fonctionne les hauts-de-casse !

😁

avatar Artefact3000 | 

@Scooby-Doo

macOS

macOS

macOS

macOS

macOS

Ça va?

avatar Scooby-Doo | 

@Artefact3000,

« Ça va? »

Yes!

😁

avatar Alex56 | 

@heliopolis
Je me sers du tableur depuis plus de vingt ans, avec des tableaux de plusieurs dizaines de feuilles et milliers de lignes. Aucun souci, beaucoup moins qu'avec Excel. Par charité je ne parlerai pas de Numbers.

avatar Franz59 | 

Idem depuis 3 ans. Je ne reviendrai pas sur MSO Excel
Je ne parle même pas du coût...

avatar marc_os | 

@ Alex56

> Par charité je ne parlerai pas de Numbers

Comme toujours, il faut utiliser les bons outils pour une tâche donnée.
Si Numbers ne convient pas à vos besoins, il convient parfaitement aux miens, qui sont essentiellement la création de temps en temps de courbes ou de graphiques simples pour illustrer des tendances statistiques.
Et cela Numbers le fait très bien et il est facile à utiliser.

avatar oomu | 

Numbers est agréable et j'apprécie de mettre en page des tableaux

mais comme assez souvent avec Apple, si on a un besoin important (des dizaines de milliers d'entrée, de faire référence à des jeux de données externes etc) ça devient trop lent et rigide.

et si j'aime un beau logiciel tel un poème en alexandrins et que j'accepte d'en payer le prix, il y a un stade où l'efficacité dépasse totalement mon intérêt pour la beauté ou le "relookage" comme disent les jeuuuuneuh.

avatar marc_os | 

@ oomu

> si on a un besoin important (des dizaines de milliers d'entrée, de faire référence à des jeux de données externes etc) ça devient trop lent et rigide

Est-ce que vous générez des graphiques avec des dizaines de milliers de points ?
Que faites vous de vos données ?

Voilà la question et possiblement le problème.

Un tableur, ça n'est pas une base de données !

C'était un classique quand j'étais en SSII.
J'ai été envoyé un certain nombre de fois chez un client qui était tombé sur les limites d'Excel qu'il utilisait comme si c'était une base de données.
La plupart du temps, je devais ré-écrire le logiciel soit avec MS-Access, soit en utilisant SQL-Server si le client l'utilisait déjà. C'est sûr, c'est un chouïa plus complexe que de bidouiller avec Excel, mais en milieu pro, c'est la seule solution valable quand on gère beaucoup de données.
En plus, avec une base de données on peut facilement partager les données sur un serveur avec des centaines d'utilisateurs - ou juste deux. Par contre avec un fichier Excel... Même si ça permet le "travail collaboratif", travailler à plusieurs sur un fichier de plusieurs centaines de Mo ou plus partagé sur un serveur, je me demande bien ce que ça pourrait donner question performances.

avatar xDave | 

@Alex56

Ne serait ce que pour traiter du CSV correctement.
Excel me fait toujours de la 💩

avatar Derw | 

@heliopolis

Oui.

Pour mon usage personnel, j’utilise la suite d’Apple qui me correspond beaucoup plus. Mais pour avoir des documents partagés avec le bureau d’une association, je n’ai pas le choix…

avatar hercut | 

Qu'utilisez-vous ?

avatar Dv@be | 

@hercut

La suite Apple

avatar heliopolis | 

La suite Apple et Microsoft office au boulot.

avatar kaya | 

Je pensais ne plus l'utiliser. Mais la lecture d'un CSV comprenant plusieurs milliers de lignes plantent numbers quand j'effectue un filtrage dessus. Je voulais éviter des requêtes en ligne de commandes. Avec LibreOffice, je n'ai pas eu de soucis. Quand à Excel... il a un cout que je ne veux pas faire.
Mais en dehors de ça, j'apprécie numbers, pages...

avatar occam | 

@kaya

> "Mais la lecture d'un CSV comprenant plusieurs milliers de lignes plantent numbers quand j'effectue un filtrage dessus. Je voulais éviter des requêtes en ligne de commandes"

Si c’est une application récurrente pour vous, il vaudrait éventuellement la peine d’essayer Easy Data Transform :
https://www.easydatatransform.com
Le logiciel fonctionne sans limitations durant la période d’essai. Son auteur est friand de problèmes liés aux grandes tables de données structurées. Et si, par hasard, les filtres proposés — hautement structurables — ne suffisaient pas, posez-lui directement la question, ou sur son forum. C’est l’un des devs les plus engagés que je connaisse, et parmi les plus prompts à faire évoluer leur logiciel pour répondre à des besoins concrets.

avatar oomu | 

sauf que openoffice/libreoffice fournit déjà tout ce qu'il faut pour manipuler EFFICACEMENT du .csv

avatar occam | 

@oomu

EFFICACEMENT, oui.
Confortablement, moins.
Et s’il m’arrive de suggérer des outils comme EDT, c’est que j’ai eu à conseiller suffisamment de gens pour qui LO/OO aurait pu suffire, techniquement, mais qui se sont heurtés sur l’interface.
Il est bon d’avoir des choix et de pouvoir comparer.

avatar Scooby-Doo | 

@oomu,

« sauf que openoffice/libreoffice fournit déjà tout ce qu'il faut pour manipuler EFFICACEMENT du .csv »

Bonjour Fred, l'abus d'emmental peut nuire gravement à la bonne santé de vos neurones délicats !

😁

Oser mettre LibreOffice et Efficace dans la même phrase me semble relever de la pure science-fiction !

À part Microsoft Office que je n'utilise pas parce que je ne supporte pas le modèle économique de l'abonnement ou des versions périssables, je ne connais pas de suite bureautique efficace !

😭

avatar f-factor | 

@heliopolis

De force : l’éducation nationale travaille avec libre office et par extension mon enfant aussi.
Si j’apprécie l’open source, la suite est malheureusement assez « particulière » dans son ergonomie, ses fonctions…et ses bugs.
Cela dit la suite Microsoft a ses propres bugs et contraintes.
Le plus dur est principalement de s’adapter à l’interface de LO qui pour le coup est assez confuse et vieillotte. Néanmoins c’est une bonne alternative.

avatar Scooby-Doo | 

@f-factor,

« Cela dit la suite Microsoft a ses propres bugs et contraintes. »d

👍

Microsoft Office a / avait des bugs carrément dans ses formats de fichiers, de mémoire la gestion des dates par exemple.

Mais question confort, c'était ma suite préférée.

Votre enfant est donc martyrisé par l'utilisation de LibreOffice comme moi avec Apache OpenOffice !

😁

avatar heliopolis | 

@ f-factor

à l'inverse, à l'université, MS office est offert en abonnement annuel à la plupart des étudiants.

avatar marc_os | 

@ heliopolis

> MS office est offert en abonnement annuel à la plupart des étudiants

Il y a quelques années, une amie a suivi une formation de "webmaster" proposée par Pôle Emploi. Et bien le grand organisme de formation en région parisienne (parrainé par un sénateur) où elle est allée offrait des versions piratées des outils d'Adobe aux élèves qui n'avaient pas de licence...

avatar oomu | 

je l'utilise tout le temps professionnellement et personnellement.

mais après, j'ai peu de tabou logiciel, je veux dire: j'utilise Vi ET Emacs (et même... nano !).

avatar marc_os | 

@ oomu

vi forever!

avatar raoolito | 

@heliopolis

Je suis bien trop content d’avoir mis mon père dessus, ça m’évite de me poser ces questions sur Microsoft 365 sur lequel il était bien perdu au niveau de l’interface et je ne parle même pas du fait de payer

avatar Scooby-Doo | 

@heliopolis,

« Vous utilisez encore libre office? Cela fait des années que je ne l'ai plus installé. »

Pareil ! Des années que j'ai laissé tombé.

Trop de problèmes de compatibilité avec Adobe Acrobat Pro dans mon cas.

Problème résolu en utilisant Apache OpenOffice !

Aussi ultra moche que LibreOffice, mais au moins ça fonctionne !

😁

avatar BlueVelvet | 

N’ayant pas Office et n’aimant pas trop Pages, oui, c’est mon traitement de texte de base.

avatar 7X | 

Incapable que je suis d’utiliser le ruban de MS Office, LibreOffice comble mes petits besoins, en complément des Page/Numbers.
L'aspect visuel me convient. Changer d’icônes pour changer d'icônes ne me rendra pas plus productif.

avatar Scooby-Doo | 

@7X,

« Incapable que je suis d’utiliser le ruban de MS Office, LibreOffice comble mes petits besoins, en complément des Page/Numbers. »

Factuellement, qu'est-ce que vous n'arrivez pas à comprendre dans le fonctionnement d'un ruban d'outils ?

🙃

Pour information : le ruban d'outils est une IHM pour notamment répondre au problème des secrétaires américaines totalement débiles et perdues par des menus et sous-menus à rallonge !

Un léger problème de QI ?

😁

avatar 7X | 

Je n'utilise MS Office que qlqs minutes tous les 2-3 ans. Quand je ne suis pas sur mon ordi. Le souvenir que j'en ai : quand je cherche à mettre un mot en gras, si je ne suis pas à la bonne page du ruban, je ne trouve pas la bonne icône.
Ce qui m’horripile le plus, sont les .docx que je dois modifier et où je bute sur un style automatique que je n'arrive pas à neutraliser. En général, ça se termine par un passage dans TextEdit en mode txt puis une reconstitution de la mise en page dans Pages.
En second sur le podium, viennent les fichiers .docx envoyés pour cinq lignes de texte sans vrai formatage.

Je ne conteste pas la puissance de ces logiciels, pour ceux qui en ont l'habitude.

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